Phobie scolaire et dépression.
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scorpy, le il y a 2 mois.
scorpy, le - Messages
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Hey
J’ai 15 ans, j’ai une année d’avance, j’ai sauté une classe en maternelle et je viens de rentrer en seconde G et c’est pour dire, un peu compliqué…
Au début de l’année, ça aller plus ou moins bien et puis là, ça fait quelques semaines que j’angoisse pour aller au lycée, de là à en faire des crises de d’angoisse.
Je n’arrive plus à aller en cours et rien que le fait de penser à y retourner me donne la boule au ventre.
J’ai commencé par sécher le cours qui me faisait paniquer puis au fur et à mesure du temps, j’avais du mal à retourner dans les autres cours. Alors ça va faire bientôt deux semaines que je ne vais plus au lycée.
Je vois une psy, une coach scolaire, une hypnothérapeute et je suis suivie par mon médecin.
certains pensent que je débute une phobie scolaire mais en vrai, rien que le nom c’est flippant !
Moi honnêtement, je sais pas ce qui m’arrive. Moi qui adorais le sport (le foot) que je pratique depuis mes 7ans, et bah j’ai même plus envie d’en faire.
J ‘ai regardé les symptômes de la déprime, et ça colle aussi. (fatigue permanente, envie de rester dans son lit, ne plus prendre goût aux activités qui me faisaient plaisir et qui me faisaient du bien surtout! …) enfin voilà.
Même si personne ne le lit, J’espère que l’avoir écrit me fera du bien.job00 Salut
J’ai 16 ans je fais la seconde générale, d’habitude j’apprécie beaucoup la science et aussi les nouvelles choses à l’école. Mais cette année c’est différent, je suis incapable de me concentrer, j’ai l’impression de perdre mon temps à l’école et au final l’école est devenue un poids pour moi, je n’arrive même plus à trouver une raison pour étudier, je fais des efforts mais on dirait pas. Plus le temps passe plus mes notes chute. J’ai l’habitude d’être triste régulièrement mais pas autant que cette année. Chaque année je prends mes distances avec les autres élèves pour éviter d’être pénible ou de faire une gaffe parce que je ne maîtrise pas mes émotions mais aussi parce que sans que je ne sache pourquoi je fais toujours peur au gens. Cette année j’ai voulu changer mais c’est devenu pénible. Pour être honnête je sais pas vraiment comment vous décrire mon problème et encore moins mes émotions. Je me vois pénible et incompétent pour les autres et pour ma famille qui se donne tant de mal. J’ai essayé de me suicider mais il s’avère que j’ ai peur de la mort ou du moins, je me sens obligée de vivre ne serais-ce pour ma famille . J’ai essayé d’être positive, de d’apprécier, de me motiver, mais je n’évolue pas vraiment. Sincèrement dit, je voudrais bien mourir mais rien que pour mes parents je voudrais trouver une solution à mon problème. Si vous pouvez m’aider alors je refuserait pas.Navrée si mon discours est pénible 🙂
salut! Miss,
l’école représente q’une infime partie de ta vie et tu n’auras pas d’autre occasion d’étudier autant donc fait simplement de ton mieux et tout ira bien il suffit de croire que tu peut réussir ,par contre je ne suis pas d’accord avec le fait de jouer avec le fait de pensé à mourir alors que t’as encore rien fait , ne trouve tu pas que c’est un peut égoiste ??et puis se si tu n’arrive pas à controler tes émotions ne te renferme pas, sa ne feras qu’aggraver les choses , mais au contraire en parler dans le calme avec des gens réfléchies vas sans doute t’aider à comprendre comment les autres font pour ne pas exploser ,car tu n’est pas la seul et tes camarades aussi sont dans la période mouvementé de l’adolescence .Bref ne prend pas trop à coeur se que j’ai écris j’espère que je t’ais un peut aidé bon courage pour la suite !! De plus faire du sport quotidiennement est un remède naturelle contre la dépression. Bonjour, je suis lycéenne en fin d’année de première. Je sèche la totalité de mes cours depuis des mois. Je n’ai plus le courage de me rendre en cours et je crains énormément le regard des gens, qui plus est, ceux des professeurs (puisque je ne fournis plus aucun travail). Au début, je n’avais que des retards, mais plus le temps passais plus leur nombre par semaine et leur durée augmentais. Je suis donc passée de quelques retards occasionnels de 15-20 minutes à des retards quotidiens de plusieurs heures. Jusqu’à une totale absence. Je ressent un grand sentiment de culpabilité, je m’en veux profondément mais je continue encore et encore de m’auto-saboter. L’angoisse des retards me rend agressive et irritable, et c’est ma mère qui en paye les frais par des insultes. Et comme si ça ne suffisait pas, ouvrir un cahier m’est devenu casi impossible sans tomber en pleur. Dés qu’il s’agis d’ouvrir un cahier ou même de dessiner je fais un blocage. J’essaie d’écrire quelque chose de clair. . .Très sincèrement je ne sais même pas si ce que je fais est vraiment utile. Alors que le dessin est
Je suis à peu près dans le même cas. J’ai peur. Peur de ne pas y arriver. Depuis toujours ma famille compte sur moi pour réussir, comme si j’étais née pour réussir. Ma mère est pauvre et n’a jamais pu m’élever. Je veux pouvoir l’aider. Mais je crois que je vais pas y arriver. Toute ma famille pense que je suis un génie, que j’ai des notes parfaites, mais c’est complètement faux. Je suis à bout niveau cours, je veux juste partir loin. J’ai des soudaines envies de tout quitter et de ne jamais revenir ou de me faire du mal. Mais je m’abstiens par devoir. J’ai l’impression de devoir quelque chose à ma mère alors que c’est son rôle à elle de veiller sur moi. On me dit souvent que je suis dans l’obligation de devenir quelqu’un d’important pour sauver ma mère. J’ai peur. Peur de perdre ceux qui croient en moi et l’avenir qu’ils m’ont réservé.
Fan2Maths Salut, pour commencer sâche que personnelement l’année de seconde à était la pire pour moi. Tu découvre le lycée et c’est un brusque retour à la réalité. On avais tous une image idéalisé du lycée étant collégien mais c’est le choc de savoir que en faite c’est facilement 10 fois pire que le collège, pour des gens comme nous qui détestont l’école en général, le lycée c’est une véritable torture.
Et il faut vraiment que tu te débrouille pour changer d’orientation parce que crois moi plus tard tu regrettera. Si tu ne change rien c’est une grosse depression qui t’attend tu commencera ta vie d’adulte avec un métier que tu n’a pas choisi et il n’y a rien de pire que sa. Il faut mieux faire un métier de passion.
sois je te comprends, je suis exactement dans la même situation (depuis 4 ans d afffiler) et j’arrive pas à trouver d’issues. En plus je suis en première générale avec maths physique en spé et je te mens pas je suis à deux doigts de me jetter par la fenêtre. On m a proposé de me faire un emploi du temps aménager et de me balancer en filière technologique l’année pro sauf que la filière en question ne m intéresse pas ,le lycée est excessivement loin, je serais seule et en plus je ferais du 8h 18h tt les jours.Par conséquent si je veux avoir un bon métier plus tard je dois être excellente dans la filière. Si y aurait que ça, bien sûr ce serait pas drôle car j ai absolument pas travaillé le bac de français, j avoisine les 0 en tt matière et jsp quoi faire plus tard. Mes parents en ont marre de moi et on cesser de ce préocupper de mon cas et me dise que c est pas grave alors que SI, j en prendrais conscience une fois dans le monde des adultes. Aussi pour revenir à ce que tu disais ce qui t arrive m est déjà arriver l année dernière, la boule au ventre avant d aller en cours, pleurer pour éviter de s y rendre bref c était un vrai cauchemar et mes parents ne prenais pas en compte mon état de détresse en me criant dessus pour que je travaille. Je pense que dans un premier cas tes parents sont assez étranges ou de deuxième cas c est juste qu ils s inquiètent pour ton avenir et juge que ton état psychique et émotionnelle n est pas prioritaire face a ta reussite scolaire.
Et ne pense pas que personne ne prête attention à ta situation c est juste qu ils ne l ont pas vécus et ne peuvent te comprendre et c est dans ce cas là qu il faut que tu fasses la nuance entre l incompréhension et le désintérêt où personne ne se préoccupe de toi. J espère t avoir rassuré en t exposant ma situation assez critique ce qui te permettrais de ne pas te sentir seul dans ta difficulté, qu aussi je t ai permis de comprendre que tes parents veulent ton bien être à travers la réussite scolaire (par inquiétude) mais aussi qu il y a tjr quelqu un dans ton entourage qui se preocuppera de ton cas sans qu il te le montre. Sans indiscrétion ta moyenne générales tournait autour de combien? Et comment as tu fais pour réviser le bac de français ?
Je m’en sen pareil et surtout quand il y a des évaluations quand je vais au collège je me sens vraiment pas bien j’ai la boule au ventre j’ai envie de rester chez moi dans ma tête je me dit que je vais jamais réussir sa me rend malade d’aller a l’école et moi aussi dans ma tête j’ai des idées noires et personne c’est que je suis comme sa et sa fait un bon moment que je suis comme ça mais j’arrive pas a en parler donc je me force à y aller quand c’est possible mais je vais en cours la boule au ventre et en pleurant je ne sais pas quoi faire je suis perdu et j’ai de moins en moins envie de manger.
scorpy Hello tout le monde
Je vois qu’on es tous dans plus ou moins le même cas et je vous souhaite à tous un bon courage.Moi par contre…. j’ai 14 ans, donc je suis en 3ème mais depuis deux ans ça vas pas.. déjà l’année dernière j’avais mes difficultés mais on m’avait prit en charge et le collège avait fait quelque chose pour moi.
Mais cette année on m’a “abandonné” comme si en deux mois de “vacances” j’irai mieux.
Pour l’école c’est un peu près la même chose que vous tous, mais depuis un peu plus d’1 mois j’ai un état apathique et 0 motivation.Les dernières semaines pendant deux jours j’avais pas réussi à aller à l’école. Aujourd’hui aussi, mais c’est différent..
J’ai pas des problèmes qu’à l’école mais aussi chez moi.
J’ai fait un coup de panique (crise d’angoisse sûrement) et je suis resté cloîtré dans mon lit à pleurer, mon père était déjà parti travailler. Donc je vais voir ma mère pour lui dire que ça vas vraiment pas.. mais elle s’énerve et a fait un geste qui voulait dire qu’elle était à deux doigts de me frapper.
Je suis sortie de chez moi en courant, en pyjama… mais comme je suis pas assez “courageuse” je suis retourné chez moi où ma mère a péter un câble.J’ai beau voir un psy toutes les semaines, rien s’est arrangé en réalité par rapport à l’année dernière où on ” m’aidait”.
Voilà désolé de mon long message mais j’avais besoin de m’exprimer.
Bonne journée à vous et bon courage à tous,
Scorpy
