L’ombre et la pluie

  • Ce sujet contient 22 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Une poussière isolée, le il y a 3 mois.
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  • #58746 Répondre
    Une larme sur l’aorte
    Participant

      Si le lieu est l’antre d’une certaine liberté langagière. J’y dépose à ma manière les plumes que je laisse à défaut d’écrire avec.

      La noirceur est un venin ou un festin ?
      Une source folle et obscure sans faim,
      Elle me dévore, sûrement pour un rien.
      Alors j’en redemande et m’offre à ce Destin.

      Des années à m’intégrer. Des tentatives, des écarts, des jeux d’ombre et de lumière et me voici encore et toujours debout mais sans que rien n’ai changé. Quelque soit le nombre d’année passée, je suis figé dans le temps et les angoisses perpétuelles. Tic, tac, Tic, tac, l’heure sonne, elle tonne et résonne. Je décroche ou je m’accroche.

      Alcoolisme, paranoïa, noirceur, déviance, fatigue et automatismes.

      Laissons ce sujet vide car pour trouver la réponse adapter à mes maux, il faut bien de l’écho.

      #58819 Répondre
      La même qu’une poussière isolée

        Salut,
        Veux-tu parler ?
        Je pose pas de questions, ni ne donne de conseils tant que je ne suis pas sûre que tu en veuille, donc n’hésite pas.
        J’espère que tu répondras.
        Passe une bonne journée, tu as mon soutien.
        Tu as une très belle écriture

        #58826 Répondre
        Une larme sur l’aorte
        Participant

          Je suis plausiblement ici-bas pour converser. Sinon l’encre déposée, pour rester en tête, secrète.

          Je tentais ma chance ici pour voir si les maux se mélangeaient bien dans le cœur du lecteur.
          L’écrit est tellement permissif et offre une beauté à l’écoute des mots s’enchainant autour de mon cou.

          Je prends oui, toutes réponses, toutes pensées, toutes questions et même conseils et confessions. C’est le plaisir du forum.

          Pas un jour sans m’abreuver, tels les dieux.
          Pas un soir sans laisser au mur un nouveau creux.
          Je score les années de vie
          Sans plaisir, mais c’est ainsi.

          Je ne peux que remercier ta première réponse.
          Je dois essayer de ne pas parler en “énigmes” mais je suis quelque peu parano.

          #58838 Répondre
          La même qu’une poussière isolée

            Je ne suis pas la seule ici
            À écrire en poésie
            Pour décrire ma triste vie
            C’est mon moyen de survie

            Veux tu bien partager
            Le nombre d’années passées
            A vouloir déposer
            Ces litres d’encre foncée

            Des humains, il y en a si peu
            Que je peux regarder dans les yeux
            Mais je passe mon temps à mentir
            Quand je leurs dis ne pas souffrir

            Depuis quand es-tu sur Terre
            Et combien de fois te taire
            Tu as été obligé.e
            Pour ne pas les inquiéter

            C’est avec grand plaisir
            Que je continue de t’écrire
            Ta plume, je n’aurais jamais
            Même si je le voulais

            #58913 Répondre
            Une larme sur l’aorte
            Participant

              Le plaisir mielleux de la mélodie,
              Quand tu composes ta vie.
              Il n’y a point besoin d’être Cyrano
              Pour apprécier quelques mots.

              Écrire pour ne pas oublier,
              Écrire pour ne plus penser.
              Écrire pour le souvenir d’un rire,
              Écrire contient au mieux ce qui te fait souffrir.

              La noirceur m’a dévoré, bête affamée !
              Année après année, tous ces hivers à me confronter
              A des milliers de pensées, des guerres inavouées
              Dont je suis la proie et le monstre déchaîné.

              Les années permettent de s’intégrer. Si tu portes des masques par milliers. Avec le temps tu seras un rempart au regard du monde. Mais les fissures sont à l’intérieur.
              Elles sont belles et violentes à la fois. On ne se voit plus grandir, on ne se voit plus vieillir, on ne se voit plus réellement. Mais on est là.

              L’homme que suis en voit passer des années. Mais il y a toujours des choses qui grandissent et se nourrissent de moi.

              #58991 Répondre
              Maelly401
              Participant

                La pluie tombe autant que mes larmes,
                Mais celles-ci reflète mon arme,
                Cette porte entre les deux mondes,
                N’est qu’une sortie de secours.
                Si ses personnes immondes,
                S’en vont ,fuient et courent,
                Il n’y aurait aucune raison,
                que j’y vais en cette saison.
                Même si les paroles sont enfermés au fond,
                Je voudrais les remonter en un bond,
                Des paroles désespérées ,
                Car,oui,je voudrais me libérer.

                #59009 Répondre
                La même qu’une une poussière isolée

                  L’ensemble de tes mots
                  Forme un joli radeau
                  Qui le soir adouci
                  Ma bien trop longue vie

                  Écrire pour ne pas mentir
                  Écrire pour ne pas mourir
                  Écrire pour bien moins souffrir
                  Écrire plutôt que périr

                  Tant de mauvaises pensées
                  Qui ne font qu’augmenter
                  Elles aiment me torturer,
                  Me faire me lamenter

                  Cela ne fait que quelques mois
                  Mais je sens le lourd poids
                  De la trop mauvaise tournure
                  De ma vie qui devient torture

                  Si tu connaissais ma joie
                  Quand ton post sous mon toit
                  Est arrivé comme ça
                  Juste au bon endroit
                  Quand ça allait pas

                  Enfin quelqu’un qui écrit
                  Des poèmes et qui en lit

                  Plus d’abréviations
                  Ni d’explications
                  Juste de belles créations

                  Une poussière isolée
                  Qui est bien désolée
                  Que tu doives supporter
                  Ces nombreuses années.

                  P.S. :
                  Je m’excuse, je ne fait pas écrire de poèmes dans mon P.S.
                  Tu n’es pas obligé.e de répondre, mais si tu acceptes peut tu me donner ton âge s’il te plaît, juste pour avoir une idée.
                  Sache que tu écris très bien.

                  #59014 Répondre
                  Une larme sur l’aorte
                  Participant

                    A la lumière obscure d’une tombe,
                    c’est la pluie de mes larmes qui tombe.
                    Une pensée, un souvenir qui reste en gorge,
                    au-delà de la souffrance, c’est ma rancœur qui se forge.

                    Malgré ton age, tu te sens seule et incomprise,
                    abandonnée des êtres qui, en plus te méprise.
                    Parée de ton obole pour payer Charon,
                    tu te refuses, malgré toi, d’être livrée aux moucherons.

                    Alors la gorge serrée, noyée
                    Tu avaleras les âmes des damnés
                    tu en deviendras sans doute une reine
                    Vivante et forte, bien que rongée par la peine, ou bien la haine.

                    Des chaines qui se brisent aux mots du démon
                    D’autres s’en viendront au doux son de ses jurons.
                    On se livre sans concession.
                    De la poésie, une obsession…

                    #59034 Répondre
                    Une larme sur l’aorte
                    Participant

                      A la lumière obscure d’une tombe,
                      c’est la pluie de mes larmes qui tombe.
                      Une pensée, un souvenir qui reste en gorge,
                      au-delà de la souffrance, c’est ma rancœur qui se forge.

                      Malgré ton age, tu te sens seule et incomprise,
                      abandonnée des êtres qui, en plus te méprise.
                      Parée de ton obole pour payer Charon,
                      tu te refuses, malgré toi, d’être livrée aux moucherons.

                      Alors la gorge serrée, noyée
                      Tu avaleras les âmes des damnés
                      tu en deviendras sans doute une reine
                      Vivante et forte, bien que rongée par la peine, ou bien la haine.

                      Des chaines qui se brisent aux mots du démon
                      D’autres s’en viendront au doux son de ses jurons.
                      On se livre sans concession.
                      De la poésie, une obsession…

                      #59055 Répondre
                      Une larme sur l’aorte
                      Participant

                        C’est un plaisir d’échanger avec vous dès maux en mots.

                        La même qu’une poussière isolée,
                        La même que le sol à vu cent fois fouler.
                        Chaque poussière est un diamant
                        Qui nattend que souffle pour aller de l’avant.

                        Je ne donne pas mon âge sur cette plate-forme car tel n’est le but. Je ne suis ni jeune ni vieux je dirais. Mais j’apprécie grandement les échanges. Cela concentre l’esprit et donc apaise les angoisses.

                        Je ne peux qu’être content de savoir que mes mots redonnent le sourire ou du moins un certain contentement. Vous vivez tous des choses complexes et sensibles.

                        C’est comme un poison vertueux
                        Une liqueur sanglante d’un homme peureux.
                        Être le garde fou de sa propre folie
                        Lutter contre contre l’horreur de son courroux.

                        Ne soit nullement désolée de ce que je dois endurer.
                        Je peux penser la mort journée après journée,
                        Avoir appelé, avoir supplié et même vendu mon âme damnée.
                        Je ne souhaite pas à jamais l’embrasser.

                        Je découvre et j’endure.
                        Comme un envol sans voilure,
                        Tu devras construire tes ailes
                        En fuyant Icare pour être immortel.

                        Si tu regardes ta vie avec tes yeux actuel, c’est là que tu n’y verras rien pour te rendre belle. L’angoisse est sournoise et dévorante, elle murmure toujours à ton oreille, elles sont mêmes plusieurs parfois à susurrer, à te malmener, te rabaisser. C’est le prix de l’angoisse quand elle n’est pas canalisée. Quand elle est absorbée sans lutter.

                        Des années à me dire que je suis ainsi comme une fatalité.
                        A l’avoir désiré, comme un monstre adopté
                        Ça grandit dans l’ombre,
                        Ça se nourrit de ta pénombre.

                        La psychologie et le suivi reste la clef !
                        Mais personne n’a dit que cela serait le premier venu.
                        Cela demande de savoir à qui se confier et comment on veut se confier.
                        Trouver le fonctionnement de son cerveau, de comment il réagit à la joie, à la peur, aux angoisses comme à la colère et la haine.

                        Sinon on finit par se dissocier,
                        On comment a voir la tête et le corps se séparer
                        Comment deux êtres à part
                        Et les émotions restent sur le quai de la gare.

                        Je continuerai à parler ici dans tous les cas.
                        Je n’ai pas trouvé un autre endroit agréable pour faire cela.

                        #59060 Répondre
                        La même qu’une poussière isolée

                          Dans tes yeux je vois l’éternité
                          Ainsi que plein de sérénité
                          Mais je n’aperçois pas le malheur
                          Lui qui depuis le début me leurre

                          Dans tes yeux je vois les pétales
                          Qui rendaient mon bonheur total
                          Voilà ce qui est incroyable
                          Les épines sont indécelables

                          Dans tes yeux je vois une belle illusion
                          J’ai donc pris une importante décision
                          J’avais oublié que tout a une fin
                          Et que l’existence n’est qu’un doux parfum

                          Poème d’amour
                          Je l’ai fait pour
                          Du français
                          Il était prêt
                          Mais j’ai changé
                          L’intégralité
                          Pour le donner
                          Pour être
                          Évalué

                          #59061 Répondre
                          La même qu’une poussière isolée

                            Il y a de l’orage
                            Peut être qu’aller courir
                            Évacuerait ma rage
                            Ou je pourrais en finir

                            C’est la bonne occasion
                            Pour ne plus rien entendre
                            Et ce avec passion
                            Il n’y a que des cendres

                            Pas envie d’y aller
                            La flemme de faire du sport
                            Pas envie d’exister
                            Cherchez pas le rapport

                            #59106 Répondre
                            Une larme sur l’aorte
                            Participant

                              L’ivresse me livre et me laisse
                              Comme une âme en peine, sang veines
                              Tant d’année à consommer, je m’abaisse
                              A vouloir m’élever au-dessus de l’homme et de mes peines.

                              Vieux démon que je suis, que je ne fuis,
                              Inspecte ce vaste monde sans raison.
                              Je voudrai goûter vos joues quand tombe la nuit,
                              Qu’une saveur nouvelle apporte la floraison.

                              Au diable le désir du sport,
                              Quand ton âme vit le triste sort.
                              Il vaut affronter ses démons
                              Avant de vouloir faire des bonds.

                              Qui veut d’un monstre sans peine et sans reine
                              Dans un monde d’apparence et d’illusion ms veines
                              Les écrans vous brisent sans peine
                              Vous êtes vos proches chaînes.

                              #59218 Répondre
                              Dragonnoir
                              Participant

                                Très jolie écriture Moi aussi j’écris des poèmes

                                #59248 Répondre
                                Une larme sur l’aorte
                                Participant

                                  Ce ne sont pas réellement des poèmes,
                                  Seulement du sans rien sur les mains et le cœur.
                                  Je nourris ma plume à même mes peines.
                                  Ne ressentir ni bonheur, ni horreur.

                                  #59249 Répondre
                                  Une larme sur l’aorte
                                  Participant

                                    Un dragon noir vêtu
                                    Brûlant d’un désir reclus
                                    Porte la lumière au loin
                                    De ne pas trouver les siens.

                                    #59250 Répondre
                                    Une larme sur l’aorte
                                    Participant

                                      Des rimes…
                                      D’un démon infirme.
                                      Use le seul venin appris :
                                      Les mots qui suscitent l’envie.

                                      #59378 Répondre
                                      Une larme sur l’aorte
                                      Participant

                                        Une larme sur l’aorte
                                        Triste désir que j’avorte.
                                        Que me reste-t-il pour exister ?
                                        Un forum actif, une chanson à trouver.

                                        Comme le lapin d’Alice
                                        Je me cacher dans mon terrier
                                        Dans l’esprit sensible je me glisse
                                        Offrant des pistes pour me trouver.

                                        Google et GPT sont-ils alliés ?
                                        Dans la quête d’une pieuvre oubliée.
                                        Dans le sang et la folie elle gît
                                        Offrant tout à la créature qui la tiendra en vie.

                                        #59433 Répondre
                                        La même qu’une poussière isolée

                                          Ils on commencé à discuter
                                          Mais je ne les ai plus écouté
                                          Je me fonds tellement dans la masse
                                          Qu’absolument tout me dépasse

                                          Je n’entends rien
                                          Je me sens bien
                                          Seule dans ma bulle
                                          Pas de virgules

                                          Mes angoisses arrivent trop vite
                                          Pour que je ne les évitent
                                          Où est la réalité
                                          Oui elle m’a quittée

                                          #59463 Répondre
                                          Une larme sur l’aorte
                                          Participant

                                            Quel plaisir de lire quelqu’un passant par chez moi. J’ai eu tendance à m’étaler sur plusieurs sujets que j’ai créé ces derniers jours sur le forum. Sans doute pour lâcher prise un peu.

                                            Voilà qu’il m’est donné,
                                            à nouveau, de pouvoir lire dans la poussière !
                                            Elle qui d’ordinaire me fait éternuer,
                                            Celle-ci est plus proche d’une lumière.

                                            Lumière isolée cachant dans la cendre,
                                            Perdant peu à peu tout désir d’entreprendre.
                                            Qu’importe la réalité,
                                            Quand on peut respirer.

                                            Voir le monde à sa manière
                                            Sans les dieux ou Lucifer
                                            C’est dans la sueur du sang
                                            Qu’on va de l’avant.

                                            Plus rien à ponctuer
                                            Plus d’âmes à ligoter
                                            Le vieux démon ne dort
                                            Il attend le triste sort

                                          20 sujets de 1 à 20 (sur un total de 23)
                                          Répondre à : L’ombre et la pluie
                                          Vos informations :




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                                          B-) 
                                          :heart: 
                                          :rose: 
                                          :-) 
                                          :whistle: 
                                          :yes: 
                                          :cry: 
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                                          :-( 
                                          :unsure: 
                                          ;-) 
                                           


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