Répondre à : Sombre
Calme et sereine, elle sourit
De jour comme de nuit, elle résiste
La pression croissante à minuit
Elle lutte contre son démon endormi
Engloutie dans le mensonge
Qui la colle, qui la plonge
Dans son océan de douleur
Sous son ciel sans lueur
Noyée dans sa respiration
Malade de ses émotions
Qui la dévore de l’intérieur
Entre tristesse et fureur
Le souffle court, sans un pardon
Dans ses efforts, un tourbillon
Qui mêle et entremêle
Tout repos éternel, dans un frisson
La rage aux lèvres
Dénuée de costume
Le sourire mièvre
Dessiné de coutures
Son visage si pur d’émotion
N’est-il pas un abandon
De sa foi de se faire comprendre,
À l’intérieur de se faire entendre…
Je comprends… Très beau poème je suis admirative et je ressens vraiment cette souffrance que tu as voulu exprimer dedans. J’espère que ça ira mieux🤍