[E.gsp_lParticipant]

Bonsoir, c’est ma première fois sur un forum soyez gentil s’il vous plaît.
Je pense que mon message à sa place dans cette catégorie l’automutilation est une addiction pour certaines personnes dont moi.
Un soir d’Octobre 2021 après des pleurs et après en avoir entendu parler je prends ***** mon bras avec. Il était simplement rouge. Puis ce n’était rien de “grave” juste pour extérioriser, quand j’ai vu que ça fonctionner j’ai arrêter ma simple ****** Un autre soir je décide de prendre une ******, je décide alors d’en parler à des amis avant que ça ne devienne plus grave mais je leur demande de rester discret, la première chose qu’ils ont fzit était de rire s’éparpiller et le dire à la première personne qu’ils voyaient pour “rigoler” après ça je me suis plus confier avant un long moment. Le soucis c’est que me faire du mal devenait de plus en plus récurrent. Mais jamais sans trop appuyer pour pas me faire de cicatrices trop importantes. Aujourd’hui nous sommes en 2023 et ça fait un an et demi que m’automutiler est une addiction. Un jour en avril 2022 je m’en souviens assez bien, je me sentais extrêmement mal mais j’étais dans la cour du collège je pourrai rien faire, mes amis finissaient à 12h30 et moi 11h30 ils étaient parti que quelques minutes pour voir quand est-ce que c’etzit à eux de manger. J’ai sortir ma *** et je n’ai fais qu’un seul trait, incapable de regarder ce que je me suis fait je vous que 2 autres amies venaient dans ma direction immédiatement je leur demande de garder les sacs et que j’allais au toilettes pour à peine 30 secondes en arrivant dans les toilettes, ou il y a toujours un peu de monde je me lave les mains et constate que j’ai du sang partout sur mes mains j’étais allé un peu profond sans le remarqué c’etzit horrible. Aujourd’hui j’ai des cicatrices blanches sur tout mon bras gauche, mais aussi des rouges qui ressorte de ma peau ainsi que des beiges légèrement plus foncé ou violettes que ma couleur de peau, pâle par le manque de fer dans mon corps. J’ai fini par arrêter l***** quand mes mais commençait à me les donner bien au courant que je me faisais du mal mais c’était pour “rigoler”, j’ai préféré voler les**** mon grand père et demain c’est ma rentrée je vais revoir la classe mes profs mes amis reprendre le cours de ma vie. Me dire que a peine 5 personnes sont simplement au courent que je m’inflige ça mais bon en étant que en 5 ème je n’aurai jamais le courage de le dire à mes parents. Le problème c’est que ça se voit. Si un jour les personnes qui voient ça veulent commencer à se mutiler sachez que ça gâche une vie littéralement, même si mon cas n’est pas excessif il n’est pas à prendre à la légère s’il vous plaît ne commencez pas vous pouvez pas imaginer ce que c’est parce que oui commencer est facile mais arrêter on pense même pas ça possible. Dîtes vous que depuis fin octobre mon maximum de jours de sobriété n’a été de de 5 jours ? S’il vous plaît ne le faites pas vous faire du mal n’est pas une trend sur ***** et ce n’est pas pour se vanter se faire du mal c’est s’infliger de réelles douleur parce qu’on ne sait pas s’exprimer réellement autrement c’est horrible vivre dans le secret vivre dans le dégoût de son corps et se dire après que quelque heure de sobriété “il faut que je recommence” avoir d’anciens souvenir qui surgisse pour te faire rechuter. Ne commencez jamais pitié. Faites tous attention à vous prenez soin de vous. Si vous avez réussi à tous lire je suis fière de vous.

[Fil Santé JeunesMaître des clés]

Bonjour E.gsp_l,
Ton message nous inquiète. Tu sembles être en grande souffrance et te faire du mal régulièrement.
Nous avons étoilé une partie de ton message afin de préserver les plus jeunes d’entre vous.
Nous t’invitons à venir en discuter avec nous afin de comprendre ce que tu vis, puis d’essayer de trouver des solutions ensemble.
Nous sommes disponibles pour échanger avec toi sur ce que tu vis en ce moment : le 0800 235 236 (9h-23h) est un numéro anonyme et gratuit.

Prends le temps de nous appeler et ne reste pas seul·e avec tout ça.

L’équipe Fil Santé Jeunes

[Lola]

Salut , j’ai la même “addiction” on va dire mais pas de la même ampleur je me fais du mal a des endroits non voyant quand je suis stressée ou pour arrêter de pleurer mais je fais sa pour me calmer ou me détendre ou sinon je frappe dans des murs pour défouler ma rage j’essaie d’arrêter mais c’est devenu un réflexe pour moi” en tout cas j’espère que tu vas aller mieux c’est pas facile ces moments la tu vas t’en sortir quand mm force a toi et prends soins de toi aussi tu vas reussir a totalement arrêter ❤️

[Camecame]

Je vois en supplie ne commencer Jammais une fois que vous commencez il est impossible de sans sortir enfin je veut dire que c’est très difficile.
Moi j’ai commencé quelques semaine avant la rentre scolaire et depuis impossible de m’arrêter totalement j’ai une une période très sombre resament dont je me.sudi sortie a l’aide d’un traitement et de beaucoup de soutien de mes proches .
J’avais arrêter depuis depuis presque un mois mais malheureusement il y a quelques jours en rangeant ma chambre je suis retombée sur *** alor j’ai beuge un moment puis j’ai je l’est prise dans ma main j’ai fait une toute petite crise d’angoisse et j’ai recommencé.
Spontanément sans raison mais l’envie mais revenu d’un coup impossible de résister je m’en veux beaucoup d’avoir recommencer car je c’est que je n’arriverai pas à arrêter vue que a chaque fois que j’arrive un peu a ne plus le faire je finis par recommence donc s’il vous plaît ne commencé Jammais cette addiction qui peut très vite déraper et dont on peut tes vite perdre le contrôle on a toujours envie de recommencer avec des outil toujours plus coupant si on n’en trouve .

[Éloïse]

Bonjour,
Je viens de me faire du mal, et je ne sais pas comment arrêter, en tapant sur **** je me fais du mal, je tombe sur se forum.
****…. Au point de ne plus pouvoir m’essuyer et fermé mes jambes.
Et ça me détent énormément.

[Fil Santé JeunesModérateur/modératrice]

Bonjour Eloïse,

Ton message nous inquiète.
Tu y fais part de violences graves retournées contre toi. Derrière ces gestes, nous y entendons un mal-être profond : c’est important que tu ne restes pas seule avec ça, que tu puisses être soutenue et protégée.

Est-ce que tu as déjà pu parler à quelqu’un de ce que tu vis et de ce que tu fais ? Un·e adulte de confiance, comme peut-être tes parents, un·e professionnel·le de santé, un·e professeur·e ?
Si tu souhaites en parler, tu peux nous joindre par téléphone au 0800 235 236 ou par ch@t. Notre dispositif est anonyme et gratuit, ouvert tous les jours de 9h à 23h (22h pour le ch@t). Nous pourrons prendre le temps de t’écouter avant de réfléchir ensemble à ce que tu pourrais faire.

Par ailleurs, comme tu as pu le voir, nous avons étoilé une partie de ton message afin de préserver la sensibilité des plus jeunes, comme stipulé dans notre charte.

Prends soin de toi,
L’équipe Fil Santé Jeunes

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