Salut J’ai 16 ans et je crois que je ne vais pas arriver à aller plus loin. C’est la première fois que j’écris sur ce site, jusque là je n’en n’avais jamais ressenti le véritable besoin, mais aujourd’hui c’est trop. Depuis 2021, ma vie est un véritable cauchemar. Je tiens pour ma mère, mais sinon je sais que j’aurais quitté ce monde depuis longtemps. Après une agression sexuelle à 12 ans de mon grand-père, la perte de ma famille (avec qui j’étais la plus proche) du côté de ma mère, des scarifications, ma mère qui a appris que ce n’était pas son père biologique, un procès et mon père qui perd la tête, c’est trop. Jusque là j’arrivais à tenir, à me battre. Mais là, je ne sais plus quoi faire. Je n’ai personne à qui parler car ce n’est pas des choses simples à dire à une amie. Je n’ai pas envie de raconter à tout le monde ce que je vis, j’ai honte. Je n’ai pas envie de paraître comme une victime aux yeux des autres. J’avais envie d’accomplir des choses dans ma vie, mais en vérité je ne sais même pas si j’arriverai à tenir jusqu’à la fin du lycée. C’est de pire en pire tous les jours, ma mère n’y arrive plus et moi non plus. Certains soirs, c’est à peine si mon père se rend compte que c’est à sa fille qu’il parle et pas à une inconnue. Je n’en parle pas à ma mère car je ne veux pas qu’elle s’inquiète pour moi. Je redoute chaque soir le dîner, car c’est à ce moment là que mon père perd la tête et s’agace (pour rien). Parfois j’ai des pensées affreuses car j’ai envie que toute cette situation s’arrête. Je n’ai aucune solution, je ne sais pas comment faire. Depuis mon agression sexuelle, j’ai perdu toute une partie de ma famille, qui s’est retournée contre moi. J’ai l’impression que les seules amies à qui j’en ai parlé m’ont soit tournées le dos soit elles n’osent jamais m’en parler et ne se rendent pas compte de ce que c’est vraiment de subir des attouchements de son grand-père. Aujourd’hui encore ça me fait du mal. Je ne prononce plus leurs noms, je les vois dans mes cauchemars, je suis mal à l’aise avec les hommes adultes, j’ai peur quand je suis seule avec un homme. J’ai l’impression qu’il n’y a pas d’issues. J’ai porté plainte avec mes parents il y a 3 ans et demi, et j’ai vécu mon premier procès à 15 ans. Depuis ce jour-là, mon père a complètement disjoncté. On pense qu’il a de la démence, mais cela peut prendre des années avant qu’il perde totalement la tête. Et pendant ce temps là, il peut donc se montrer agressif et méchant, surtout le soir. C’est affreux, je passe toutes mes soirées à pleurer et m’empêcher de sauter de mon balcon qui est à portée de main. Je me dis que j’ai simplement à avancer, à enjamber la barrière et à me laisser tomber, et tout cela serait enfin terminé. Je ne sais pas ce qui me retient. Je tiens pour les autres, pas pour moi. Mon père de quand j’étais petite me manque. Aujourd’hui, je ne le reconnais plus. Il vient de perdre son père il y a deux jours, mon G…. P… vient de mourir. Depuis, c’est encore pire. Ma G…. M… qui m’a tournée le dos me manque. Elle dit que je l’ai “tuée” parce que j’ai dénoncé son mari pédophile. Elle me manque beaucoup. C’est trop dur. Je suis vraiment désolée pour tout ce que j’ai écris, mais c’était vraiment une soirée difficile et ça a fait ressortir tout ce que je ressens. Et ça fait vraiment du bien d’exprimer ses sentiments.
Tu évoques une situation grave qui te fait beaucoup souffrir au point d’avoir des idées suicidaires. C’est important que tu ne restes pas seule avec ça, que tu puisses être soutenue et protégée.
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Salut Déjà, bravo pour avoir eu le courage de raconter tout ça. Punaise, ta vie est en effet un cauchemar, quel courage tu as eu pour tenir ! Si tu as du mal à parler à une amie, est-ce que tu as essayé un psy ? Tu dis que tu n’as pas envie de paraître comme une victime. Quand je lis ton récit, je ne me dis pas que tu es une victime. Je me dis que tu as un courage phénoménal et que j’aimerais tellement que tu aies enfin droit à une vie heureuse. On ne devrait pas avoir peur de se cataloguer victime. Moi, j’en suis une. Ça ne me rend pas faible. Ça me rend plus fort, au contraire. Dire qu’on est une victime, c’est dire qu’on a souffert. Que des gens nous ont fait du mal. On ne devrait pas en avoir honte. On ne devrait pas être reniés pour ça. J’ai l’impression que tu essaies beaucoup d’épargner les gens autour de toi, comme si tu étais le chewing-gum qui fait tout tenir en place (bon, d’accord, cette comparaison est nulle) (plutôt “le dernier écrou qui ne s’est pas encore cassé” ? oh là là je suis pas doué hein) alors que tu as seize ans ! À seize ans, ce n’est pas à toi de taire ta souffrance pour épargner ta mère ou ta G-M. Je sais que c’est dur d’oser dire ce qu’on ressent. Mais crois-moi d’expérience, si ça ne sort pas par la bouche, ça sort par les oreilles avec un BOUUUM euh pardon encore une comparaison toute pourrie. C’est injuste et c’est MAL de te donner l’impression que c’est de ta faute ! Que tes amis, ta famille te RENIENT parce que QUELQU’UN T’A FAIT DU MAL ?!! Je suis désolé, je m’emporte, mais TU N’AS PAS À CULPABILISER. Malheureusement la culpabilité touche rarement ceux qui la méritent… Ton père te manque. Ça doit être terriblement dur. Est-ce que tu en parles à ta mère de ça ? Ou est-ce que tu essaies de l’épargner là-dessus aussi ? Vous pourriez peut-être en discuter ? Repenser aux moments passés avec lui… c’est dur de parler de ce qui fait mal, mais ça aide aussi (d’ailleurs tu le dis à la fin de ton message) Tu dis “j’ai envie d’accomplir des choses dans la vie”. Essaie de te concentrer là-dessus. Si tu as des projets, peut-être que cette pensée peut t’aider à tenir encore un peu, le temps de trouver quelqu’un qui puisse t’aider, à qui tu puisses parler, psy ou autre. Et NE TE TUE PAS ! Tu as assez souffert comme ça. Tu mérites de vivre. En ce moment, vivre te paraît sans doute plutôt comme une punition, mais ça ne sera pas toujours le cas. Tu es forte et courageuse. Tu peux le faire. Ose parler, chercher de l’aide comme tu viens de le faire. J’espère que j’ai pu un peu t’aider. Bon courage. Je pense à toi.
Bonjour, j’ai 14 ans et je ne pense pas aller au delà de 15. Ces temps si ça va pas.. j’ai eu qlq soucis avec ma famille (des disputes et des décès) et je suis très émotive et ça m’a bcp affecter. Je fais des crises de colère car je ”arrve pas a géré mes émotions et je me mutile de temps à autres.. sur le poignet, le ventre et les cuisses, je me sens extrêmement grosse malgré le fais qr je fait que 48 kilo mais quznd même. J’ai besoin de qlq pour m’aider s’il vous plaît. J’ai peur que si je saute d’un toit ça fasse mal..
Salut Lyashi Déjà merci beaucoup de m’avoir répondue. Tu n’imagines pas à quel point ça me touche. Ton message m’a choquée, dans le bon sens du terme. Ça fait du bien de voir que des personnes comme toi existent encore. En effet, j’ai déjà essayé le psy, mais ça ne m’a pas vraiment aidée, et puis ça devenait compliqué financièrement. Je te trouve très courageux, toi aussi, d’affirmer que tu es une victime, et c’est vrai que je n’avais jamais regardé les choses sous cet angle, mais tu as raison. C’est vrai que j’essaie beaucoup d’épargner les autres, mais c’est également car cela me permet de ne pas y penser ou de ne pas en parler (même si ce n’est pas la solution). Merci beaucoup pour tes comparaisons “pourries”, ça fait du bien de rire. Et aussi pour avoir utiliser mon expression de “G-M”, j’avoue que depuis le dépôt de plainte, je n’ai jamais réussi à dire ces mots banals en entier. Ce qui a choqué beaucoup de gens qui n’ont jamais compris que je n’y arrive pas. En fait, personne ne m’a jamais vraiment demandée pourquoi je disais “le père de ma mère” ou ” la mère de ma mère” ; c’est parce que c’est trop difficile ! Et c’est très compliqué au quotidien de vivre sans utiliser ces mots. Je suis en manque d’excuses lorsque les gens me demandent. Effectivement, mon père d’avant me manque terriblement. Mais encore une fois j’essaie d’en parler le moins possible à ma mère. Je sais ce que tu penses, mais elle souffre suffisamment pour que je lui en parle aux seuls moments où elle peut se détendre. Et puis ça ne me dérange pas, car mon truc à moi c’est : écrire. Donc je me contente d’écrire ce que je ressens. C’est vrai qu’en ce moment, je puise trop d’énergie à me tracasser pour mon père plutôt qu’à penser à mon avenir. J’ai envie de devenir avocate pour me battre contre ces ordures. Tu as raison de t’emporter, et sache que ça m’arrive aussi. Je veux que tous ces gens paient pour ce qu’ils font ! Je ne suis pas une personne suicidaire, mais c’est vrai qu’en ce moment j’y ai beaucoup pensé. Je te remercie du fond du coeur pour ta réponse et pour le bien que tu m’as apportée. Si ce n’est pas trop indiscret, pourquoi dis-tu que tu es une victime ? Tu n’est pas obligé de répondre, mais tu as l’air d’être quelqu’un de bien, et j’aurais été curieuse de connaître ton histoire. J’espère que tu verras ma réponse, ça m’a fait beaucoup de bien de partager tout ça avec toi et moi aussi je pense à toi !
Salut, J’espère que ça va (mieux) (un peu). Tu n’oses pas parler de tout ça à ta mère, parce que tu as peur de lui causer des problèmes en plus… est-ce que tu crois que ça pourrait être pareil de son côté ? Peut-être que vous taisez toutes les deux votre souffrance en croyant vous épargner l’une l’autre, alors que ça a l’effet l’inverse ? Enfin, je ne veux pas trop insister, je me dis juste que ça pourrait vous soulager elle comme toi d’en parler… En attendant, c’est super que tu écrives, et je te soutiens à fond sur ce projet de devenir avocate !!! Je comprends totalement que tu ne veuilles pas penser à/parler de tout ça. Quand on souffre, rien que continuer à vivre normalement ça pompe l’énergie, alors, comme parler de ce qui fait mal réclame énormément d’énergie, on n’a pas toujours les piles. En ce moment je me souviens de bribes d’un trauma que j’ai oublié. Quand je me mets dans le noir, si je ne bouge pas pendant longtemps, j’ai des souvenirs qui me reviennent. Jamais quoi que ce soit de clair. Je l’ai fait plusieurs fois par jour pendant des mois. Récemment j’ai arrêté, parce que, ben, plus d’énergie. C’est comme si je me trimballais un gros boulet mais que je n’avais plus la force de briser la chaîne (encore une de mes légendaires comparaisons). Alors je ne sais pas. Toi comme moi, est-ce qu’il vaut mieux le faire (dans ton cas, en parler) maintenant parce que la difficulté ne va faire qu’empirer, ou attendre d’avoir repris des forces ? J’imagine que c’est à toi de voir. P.S : tu le sais sûrement, mais il y a des numéros gratuits au téléphone si jamais tu as besoin de parler… P.P.S : je sais que c’est facile de dire ça, mais tu n’as pas à te justifier de ta difficulté à dire certains mots. C’est légitime. Bon couraaaaaaage !
Salut, Ça va un peu mieux. J’espère que toi aussi ça va ? Je t’avoue que ça va aussi parce que je suis partie hier en colo et ça fait beaucoup de bien de changer de décors. Enfaite on se parle déjà beaucoup avec ma mère. Mais c’est simplement que le soir, après une soirée compliquée, ça lui arrive de vider son sac ou de pleurer en pensant à l’avenir (seulement lorsqu’on est toutes les deux et que je ne reste pas seule). Et dans ces moments-là, je ne me vois pas lui rajouter le poids de ma souffrance. Donc ça m’arrive de lui dire un peu ce que je ressens ou alors de ne rien dire du tout. Pour l’instant j’essaie de ne pas trop penser à tout ça (à part quand je parle avec toi parce que ça fait du bien de parler à quelqu’un, et je trouve ça plus facile quand on ne connait pas cette personne). Je t’avoue que j’appréhende un peu les vacances parce que comme je te l’ai dit c’est difficile avec mon père et j’ai peur de ne pas avoir envie de rentrer chez moi après la colo. Je suis désolée, j’espère que je ne t’ai pas fait trop de mal à te rappeler ton trauma. Je comprends qu’à un moment tu n’ais plus eu d’énergie. Moi c’est pareil. L’année dernière, j’ai rassemblé toute mon énergie une dernière fois pour venir à mon procès. Et puis après, c’est comme si je m’étais complètement déchargée et qu’il me fallait plusieurs années pour me recharger complètement. Enfin bon, d’après ce que j’ai compris tu sais ce que c’est. Je sais pas toi, mais mon problème c’est que lorsqu’une personne à la gentillesse de me demander si ça va à la maison ou autre, je lui répond sur le champ que “tout va bien”. Alors que pas du tout. C’est plus fort que moi. J’ai beau avoir envie de vider mon sac et tout lui raconter, je dis que tout va bien. Sauf que le problème c’est qu’après, quand je regrette et que je veux parler, cette personne ne me redemande plus jamais et je n’ose pas lui raconter de moi-même. Je me sens tellement idiote dans ces cas-là. Exemple. Il y a deux semaines, lors de mon stage de seconde chez mon avocat, il m’a demandée une seule fois si tout allait bien chez moi. Je lui ai répondu que oui, et après, quand il est parti, je crois que j’ai fait une crise d’angoisse (ça avait tout l’air d’en être une mais je n’en n’avais jamais faite avant). Ça m’a fait vraiment peur. J’étais gênée comme jamais, et il ne m’a plus jamais demandée alors que je mourrais d’envie de tout lui dire. A ce moment-là, j’avais les mains qui tremblaient et la mâchoire aussi, je ne pouvais pas aligner deux mots, et j’avais le coeur qui battait à cent à l’heure, comme s’il allait lâcher, et j’avais l’impression que j’allais m’évanouir. J’étais vraiment paralysée (c’était dans le train en rentrant d’une audience). Enfin bref, j’aimerais beaucoup “savoir parler” à quelqu’un. Mais c’est comme un blocage. Je ne sais pas si toi aussi tu ressens ça quand tu essaies de réveiller ton trauma, mais je trouve ça difficile à gérer. Je n’arrive pas à parler à un adulte ni à pleurer devant un adulte, ça paraît con mais c’est trop difficile. Je sais qu’il y a des numéros et merci, mais tu verras en lisant mon message que je ne sais même pas si je suis capable d’appeler quelqu’un pour tout lui raconter. J’espère que ça ne te dérange pas que je continue à te parler, mais sache que ça m’aide à un point que tu n’imagines pas. J’espère vraiment que tu arriveras à surmonter ton trauma toi aussi, et merci pour tes bons conseils !
Salut, Je vois ce que tu veux dire à propos du blocage. En plus, quand le “ça va ?” sonne comme une formalité, difficile de répondre “ben non je veux mourir et toi sinon ça va ?” Ce n’est pas idiot, par contre ça doit être douloureux. Est-ce que tu pourrais parler de ce blocage aux gens à qui tu aimerais te confier, histoire qu’ils ne s’arrêtent pas à un “tout va bien” ? Bien sûr que non, ça ne me dérange pas que tu continues à me parler ! Et je sais que c’est facile de dire ça, mais parle à ta mère dès que tu en ressens le besoin. À mon avis, elle préfèrerait largement que tu lui en parles, plutôt que de filtrer par peur de lui rajouter des problèmes. C’est super que la colo t’aide un peu. Profites-en, tu as le droit à du répit !
Salut Je n’avais pas vu que tu m’avais répondue, mais ducoup merci ! En fait je me rends compte que depuis le début je parle que de choses qui me font du mal (en même temps c’est au moment où ça n’allait pas), mais dans la vraie vie je ne suis pas comme ça. Je trouve simplement que c’est cool d’avoir un endroit où relâcher ses pensées douloureuses afin de vivre sans y penser le reste du temps. Dans le fond tu as raison, il faudrait que je parle de ce blocage aux gens à qui je tiens. Mais justement mon blocage c’est de ne pas pouvoir le dire. Mais j’ai l’impression que grâce à cette colo j’ai commencé à m’affirmer plus qu’avant. C’est ma première colo et jusqu’à maintenant elle se déroule super bien. C’est cool de côtoyer des gens qui ne connaissent pas mon histoire. Mais j’avoue que parfois il y a une partie de moi qui meurt d’envie de tout raconter pour voir leur réaction, ou même juste pour arrêter de leur mentir (je voudrais simplement que les autres arrêtent de juger, je n’ai pas choisi de vivre ça). Enfin bref, le problème c’est que je me rends compte que si je suis enfin moi-même pendant cette colo, c’est parce que je suis moins fatiguée et moins stressée de mes parents qui vont mal. Ce qui me fait du mal car j’aime mes parents et ce n’est pas leur intention de me faire du mal. Mais bon, je verrai bien si ça s’arrange (et je l’espère !!!) car je rentre chez moi mardi et j’espère que ça va aller. J’espère que toi ça va sinon ? Saluuuut
Salut, Je suis vraiment désolé, j’ai renvoyé mon message deux fois mais il n’apparaît pas, ou alors c’est moi qui suis nul avec l’informatique ptêt… J’espère que tu recevras celui-ci. J’espère aussi que la colo s’est bien passée ainsi que le retour chez toi et que ça va aller mieux et que tu trouveras de l’aide et bonne chance pour tout j’admire ton courage !!
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