Moi, les autres et le premier travail…
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- StessyParticipant
Bonjour,
Depuis septembre, je travaille dans l’animation en centre de loisirs, et j’ai pris en charge la conception des plannings et des lettres mensuelles du centre. Cependant, l’introduction d’une prime en novembre a créé des tensions, d’autant plus qu’elle n’a toujours pas été versée. Cette prime semble devenir un point de friction.
Ma formation, qui se termine en juin, requiert plus de temps dans la semaine. Cependant, la charge de travail hors temps de travail, accentuée par les demandes liées à la prime, entrave ma disponibilité. À noter que ma collègue, normalement inaccessible, ne fait pas beaucoup d’efforts pour être disponible, ce qui complique davantage la situation.
De mon côté, je réponds habituellement tous les jours, même le weekend et après les heures de pointe (20-22h), ce qui contribue à ma sensation de surcharge.
Je souhaite avoir plus de temps pendant la semaine pour me consacrer à ma formation. Il est également essentiel pour moi de ne plus répondre aux appels le weekend, considéré comme un temps de repos. J’envisage également la possibilité de trouver un emploi supplémentaire en semaine, mais les demandes actuelles rendent cela difficile.
Cette situation me génère un sentiment de culpabilité, et j’ai l’impression que l’on attend de moi une réactivité excessive sur tous les fronts. De plus, je ressens une certaine injustice dans la répartition des tâches et des responsabilités.
Je souhaite trouver des solutions pour ralentir, ne plus ressentir de stress, et surtout avoir plus de courage pour exprimer mes préoccupations lorsque les choses ne vont pas. Je ne veux pas me sentir écrasée par la peur de perdre mon travail.
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