L’hépatite C
C’est quoi ?
L’hépatite C est une maladie infectieuse, liée à un virus (le virus HCV), qui s’attaque au foie. Ce virus HCV n’a été découvert et nommé par les chercheurs qu’en 1989.
Transmission et contagion
Cette maladie se transmet par contact de sang à sang. Transfusions de sang non-dépisté au préalable, partages de seringues non-stériles chez les toxicomanes, piercings ou tatouages effectués dans le non-respect des conditions d’hygiène, soins à l’étranger … peuvent être des situations « à risques » dans la transmission du virus. Pendant des années, une personne peut être « porteur sain » (elle porte en elle le virus sans déclarer la maladie) mais est contagieuse. L’hépatite C concernerait environ 600 000 personnes en France aujourd’hui.
Symptômes
Une fois que la contamination a lieu, la maladie peut mettre environ sept semaines à se révéler (c’est la période d’incubation). Survient ensuite une phase aïgue : dans 60 à 70% des cas, elle est asymptomatique, c’est pour cela qu’on parle d’épidémie « silencieuse ». Dans les autres cas, les symptômes s’apparentent à une perte d’appétit, des douleurs abdominales, un ictère (une jaunisse), une sensation importante de fatigue … Si la maladie devient chronique, des troubles plus graves apparaissent, notamment des cirrhoses ou des cancers du foie.
Traitement et évolution
Seuls les patients dont la maladie est chronique peuvent être traités aujourd’hui. En dehors des médicaments, une bonne hygiène de vie est recommandée : alimentation saine, pas d’alcool ni de tabac. Le dépistage est essentiel pour permettre la prise en charge et éviter le risque de contagion.
La phase aigue de la maladie dure normalement quelques semaines et disparaît spontanément dans un tiers des cas. Au-delà de six mois, on considère que l’infection est chronique et impose un traitement.
Il n’existe pas de vaccin aujourd’hui contre l’hépatite C.
C’est quoi ?
L’hépatite C est une maladie infectieuse, liée à un virus (le virus HCV), qui s’attaque au foie. Ce virus HCV n’a été découvert et nommé par les chercheurs qu’en 1989.
Transmission et contagion
Cette maladie se transmet par contact de sang à sang. Transfusions de sang non-dépisté au préalable, partages de seringues non-stériles chez les toxicomanes, piercings ou tatouages effectués dans le non-respect des conditions d’hygiène, soins à l’étranger… peuvent être des situations « à risques » dans la transmission du virus. Pendant des années, une personne peut être « porteur sain » (elle porte en elle le virus sans déclarer la maladie) mais est contagieuse. L’hépatite C concernerait environ 600 000 personnes en France aujourd’hui.
Symptômes
Une fois que la contamination a lieu, la maladie peut mettre environ sept semaines à se révéler (c’est la période d’incubation). Survient ensuite une phase aiguë : dans 60 à 70% des cas, elle est asymptomatique, c’est pour cela qu’on parle d’épidémie « silencieuse ». Dans les autres cas, les symptômes s’apparentent à une perte d’appétit, des douleurs abdominales, un ictère (une jaunisse), une sensation importante de fatigue… Si la maladie devient chronique, des troubles plus graves apparaissent, notamment des cirrhoses ou des cancers du foie.
Traitement et évolution
Seuls les patients dont la maladie est chronique peuvent être traités aujourd’hui. En dehors des médicaments, une bonne hygiène de vie est recommandée : alimentation saine, pas d’alcool ni de tabac. Le dépistage est essentiel pour permettre la prise en charge et éviter le risque de contagion.
La phase aiguë de la maladie dure normalement quelques semaines et disparaît spontanément dans un tiers des cas. Au-delà de six mois, on considère que l’infection est chronique et impose un traitement.
Il n’existe pas de vaccin aujourd’hui contre l’hépatite C.
