Journée Internationale des Droits des Femmes
Depuis 1977, on célèbre officiellement et mondialement la Journée Internationale des Femmes le 8 Mars. Eh non ! Ce n’est pas comme la fête des mères ou des grands-mères et donc pas une excuse pour offrir des cadeaux aux femmes de ta vie (même si on n’a pas vraiment besoin d’excuses pour ça, pas vrai ? 
)
Qu’est-ce qu’on célèbre vraiment le 8 mars ?
La Journée Internationale des Femmes (le nom officiel donné par l’Organisation des Nations Unies – ONU – en 1977) est en réalité la Journée Internationale des DROITS des Femmes. Le 8 Mars est donc LA journée où on fait le point, à travers le monde, sur la situation des femmes, leur place dans la société et leurs droits.
C’est l’occasion de célébrer le chemin parcouru mais aussi (et surtout) de faire entendre les revendications en matière d’égalité et de justice. Car oui, il existe encore aujourd’hui des inégalités entre les hommes et les femmes à plusieurs niveaux (encore 9% de différence de salaire par exemple), donc la lutte pour l’égalité des genres et les droits des femmes n’est pas encore terminée…
Et en temps COVID, qu’est-ce que ça donne ?
En cette année bien particulière, impossible de ne pas remettre les choses dans le contexte sanitaire.
Depuis presque un an, les femmes sont en première ligne pour la lutte contre la pandémie car elles occupent la grande majorité des postes de soin, d’aide et de service à la personne (infirmières, aides-soignantes, caissières…). Malgré leur rôle central, elles sont aussi les plus touchées, que ce soit par la perte/modification d’emploi et par l’augmentation dramatique des violences conjugales depuis le premier confinement.
En plus du reste, la crise du COVID est venue creuser d’autant plus les inégalités entre les hommes et les femmes. Il est donc indispensable de penser à « l’après », d’où le choix du thème pour ce 8 Mars 2021 : “Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19″. A réfléchir !
Ça nous concerne TOUS (oui oui, on a bien dit tous et pas toutes ), on est la génération de l’égalité après tout !
